En 92, je suis monté sur la cheminé, debout, j’avais besoin de la ramoner. En fait les oiseaux avaient depuis longtemps investi les lieux : je pense avoir enlevé plus d’un mètre de bouchon composé de branches et de feuilles.
A l’époque, je n’avais pas remarqué la particularité de cette cheminé.
Lors de l’installation du poële, il m’a fallu à nouveau monter là-haut pour installer le tube d’évacuation des fumées en inox (voir Emile en bas, à pousser), alors qu’avec Baptiste nous étions sur le toit (à serrer les fesses).
Mais je n’étais plus capable (ou plus assez fou) pour me mettre debout sur celle-ci. J’arrivais juste à m’accouder sur le rebord, et là,
surprise, je tombe nez à nez avec la marque que voici :
Non pas une gravure, mais une surimpression, d’un bon centimètre de haut, une feuille de lilas, me semble-t-il.
Vraisemblablement la marque du maçon. C’est aussi ce qu’en a déduit un ami, Gérard Beneteau, Docteur en histoire de … et Franc maçon si je me souviens bien…
Et ça, c’est la vue que nous avions de là-haut :
La prochaine fois que j’y monte, si j’y remonte encore (je l’ai refait il y a trois mois), je prendrai l’empreinte avec du plâtre …